Installé depuis mars 2005, Jean-Francois Chéné cultive 4ha de vigne sur la commune de Beaulieu sur Layon. Son domaine: La Coulée d'Ambrosia, se compose dont 1,1ha de Cabernet Franc, 2,6ha de Chenin et grande nouveauté depuis janvier 2011 : 0,4ha de Grolleau. Le terroir est à dominante schisteuse, siliceuse et argileuse, longe le Layon.

Ces terres lui ont été transmises par ses parents, eux aussi viticulteurs mais dans la méthode « conventionnelle d’aujourd’hui », en culture raisonnée.

Dès son installation, il s'est engagé en agriculture biologique avec l’organisme ECOCERT.

Jean-Francois s’intéresse particulièrement à la biodynamie. Il a fait un premier pas vers cela avec sa famille en participant le plus souvent possible aux journées organisées par l’association Agriculture Bio-Dynamique Anjou-Touraine à laquelle il adhère.

Ces journées sont l’occasion d’échanger sur les techniques de travail que ce soit en viticulture ou d’autres activités et sur l’observation du temps et de l’influence des planètes. Il s’agit aussi de partager sur l’élaboration et l’utilisation des préparations biodynamiques.

6 ans après son installation, il suit le calendrier des semis pour les phases de soutirage et de mise en bouteille. Petit à petit...

En 2006, il a rejoint l’association SEVE dont il approuve les idées. Elle défend notamment l’originalité de chaque vin, de chaque terroir (mot souvent utilisé à tort) et dénonce les Appellations d’Origine Contrôlée qui tendent à uniformiser les vins. En septembre 2006, il a présenté son blanc moelleux à l’agrément. Celui-ci a été refusé car trop différent des vins standard. Le président lui a conseillé, pour s’en rapprocher, de rajouter du soufre. Hors de question qu'il a répondu !

C’est pour cela que l’ensemble de sa production est aujourd’hui déclassé en vin de table. C’est d’ailleurs pour lui une nouvelle occasion de compléter l’originalité de ses vins en leur donnant un nom qui leur est propre.

Par ailleurs, il recherche l’authenticité dans son travail en reprenant les techniques d’antan comme l’utilisation des pressoirs verticaux. De la même manière, il essaie d’éviter au maximum toute intervention sur le jus en remplaçant par exemple l’utilisation de pompe par le soutirage par gravité et en minimisant les filtrations.

Il a choisi d’aller au bout de ses convictions en minimisant les interventions en cave et ainsi laisser s’exprimer le fruit et le minéral. Il obtient alors des vins « vivants » éloignés des standards, des vins qui interpellent !

Installé depuis mars 2005, Jean-Francois Chéné cultive 4ha de vigne sur la commune de Beaulieu sur Layon. Son domaine: La Coulée d'Ambrosia, se compose  dont 1,1ha de Cabernet Franc, 2,6ha de Chenin et grande nouveauté depuis janvier 2011 : 0,4ha de Grolleau. Le terroir est à dominante schisteuse, siliceuse et argileuse, longe le Layon.

Ces terres lui ont été transmises par ses parents, eux aussi viticulteurs mais dans la méthode « conventionnelle d’aujourd’hui », en culture raisonnée.

Dès son  installation, il s'est engagé en agriculture biologique avec l’organisme ECOCERT.

Jean-Francois s’intéresse particulièrement à la biodynamie. Il a fait un premier pas vers cela avec sa famille en participant le plus souvent possible aux journées organisées par l’association Agriculture Bio-Dynamique Anjou-Touraine à laquelle il adhère.

Ces journées sont l’occasion d’échanger sur les techniques de travail que ce soit en viticulture ou d’autres activités et sur l’observation du temps et de l’influence des planètes. Il s’agit aussi de partager sur l’élaboration et l’utilisation des préparations biodynamiques.

6 ans après son installation, il suit le calendrier des semis pour les phases de soutirage et de mise en bouteille. Petit à petit...

En 2006, il a rejoint l’association SEVE dont il approuve les idées. Elle défend notamment l’originalité de chaque vin, de chaque terroir (mot souvent utilisé à tort) et dénonce les Appellations d’Origine Contrôlée qui tendent à uniformiser les vins. En septembre 2006, il a présenté son blanc moelleux à l’agrément. Celui-ci a été refusé car trop différent des vins standard. Le président lui a conseillé, pour s’en rapprocher, de rajouter du soufre. Hors de question qu'il a répondu !

C’est pour cela que l’ensemble de sa production est aujourd’hui déclassé en vin de table. C’est d’ailleurs pour lui une nouvelle occasion de compléter l’originalité de ses vins en leur donnant un nom qui leur est propre.

Par ailleurs, il recherche l’authenticité dans son travail en reprenant les techniques d’antan comme l’utilisation des pressoirs verticaux. De la même manière, il essaie d’éviter au maximum toute intervention sur le jus en remplaçant par exemple l’utilisation de pompe par le soutirage par gravité et en minimisant les filtrations.

Il a choisi d’aller au bout de ses convictions en minimisant les interventions en cave  et ainsi laisser s’exprimer le fruit et le minéral. Il obtient alors des vins « vivants » éloignés des standards, des vins qui interpellent !